Le sable du destin
Dans l’atelier brûlant d’Alexandrie, la chaleur du four faisait pervibrer l’air autour du souffleur de verre. Chaque ouverture, il façonnait des coupes d’une franchise inégalée, leur limpidité reflétant la clarté comme par exemple aucune sorte de autre ballon dans la grande ville. Mais durant pointe, une chose étrange se produisait.